Lundi 7 avril, le Parlement a voté une loi qui bouscule les campagnes. Dès 2026, la parité sera imposée dans toutes les communes, même les plus petites. Une révolution silencieuse qui inquiète les maires ruraux de moins de 1 000 habitants. Monter une liste municipale en vue des...
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Cette parité décidée "d'en haut" est une grave erreur ! Elle mettra en difficulté les petites communes qui, faute de pouvoir constituer un conseil municipal, seront absorbées par une commune plus importante. C'est en fait un moyen pour forcer la création de communes nouvelles qui se caractérisent souvent par des échecs ...
La parité c'est bien mais sans en abuser et en l'augmentant progressivement pour attendre les 50%.
Beaucoup de grosses entreprises ont dégagé du jour au lendemain des hommes "cadres" pour les remplacer par des femmes inexpérimentées, simplement pour respecter la parité. Certaines sont même passées de 30% de femmes cadres à 70% en moins de 24 mois.
Les femmes sont autant capables que les hommes, souvent même meilleures, mais attention à y aller progressivement, certaines entreprises sont allées trop vite et s'en mordent les doigts.
C’est une très bonne chose la parité ! Cela fonctionne parfaitement bien dans les entreprises grandes ou petites !
Cette règle de la parité est une aberration.
On ne choisi pas quelqu'un pour son sexe mais pour ses compétences. Que le conseil (ou n'importe quel organe de décision) soit 100% féminin ou masculin est cohérent si on a les plus compétent(e)s autour de la table.
L’idée qu’on choisit toujours "les plus compétents" est séduisante, mais elle oublie une réalité bien ancrée : les biais, souvent inconscients, qui freinent l’accès des femmes aux postes à responsabilité. La parité n’est pas une récompense, c’est un outil pour corriger un déséquilibre historique. Prétendre qu’il suffit de "laisser faire le mérite" dans un système déjà biaisé, c’est ignorer les mécanismes d’exclusion. La compétence ne manque pas chez les femmes, encore faut-il leur laisser la place de l’exprimer.
La compétence n'a pas de genre. L'imposer, c'est créer un nouveau biais : celui de forcer à nommer des profils qui ne sont pas nécessairement les plus compétents.
À ce rythme, on risque de finir par promouvoir la parité au détriment de l'excellence. Drôle de raisonnement...